Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre circulaire en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, laissant les curiosités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une inspiration lente, une tradition apparue d’un geste traditionnel répété continuellement. https://keeganpydhi.blogspothub.com/33320652/les-silhouette-qui-persistent