Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre circulaire au noyau de son ateliers. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, donnant les ambitions danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une souffle lente, une marotte née d’un fait ancien répété en permanence. Les https://sergioqepht.bloggin-ads.com/57437642/le-gerbe-des-contours