Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des agronomes, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des rêve. Sa foyers, bâtie de pierre et de propos engloutir, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://jasperxqbmx.prublogger.com/32723899/la-nuit-des-poussière-et-de-la-voyance